Les dernières nuits furent chargées…
J’ai tué symboliquement le père (l’image).
Et après une pause d’une nuit, la suivante j’ai été dans l’enchaînement de « je lâche les rênes donc tout part en vrille » au point d’être seule au milieu de mes semblables devenus ennemis sans même que nous nous connaissions et sans vrai moyen d’obtenir de l’assistance alors que ma progéniture était en danger de mort (et moi aussi, d’ailleurs). Foule, menace, voiture, retour en un substitut de lieu où j’ai grandi. Symboles, vous avez dit symboles ?
Ok ok, j’avance m’enfin euh… N’en jetez plus, j’ai eu ma dose pour un bon moment, merci !