Dites, voilà presque deux ans que je radote les mêmes choses. Z’en avez pas marre ?
(Comment ça, je devrais pas me lire ?)
Nouveau tour de roue. Derniers soubresauts, plein de choses à régler mais c’est déjà acté comme « du futur au goût de passé », vous savez, ces tâches que l’on sait obligatoires, que l’on abat avec seul désir d’en finir une bonne fois pour toutes ? Ben oui, ce sentiment-là.
Et la cohorte de doutes qui s’annoncent avec.
Hé, le sentier. Tu voudrais pas m’offrir une petite vallée simple ou un perchoir au calme, un lieu un chouïa retiré où rester au calme et regarder passer les gens, défiler les jours sans heurts, tout en sachant s’en émouvoir ?
Bah quoi, ça coûte rien de demander. Tout ce qu’on risque, c’est d’obtenir quelque chose. Encore qu’avec l’ange gardien que je me tiens, à faire des demandes pareilles je risque surtout une réincarnation en vache indienne ! 😀